Notre cerveau fonctionnerait comme le disque dur d’un ordinateur. Afin de gagner de la place, la nuit, au cours du sommeil, ce dernier lancerait un « programme » qui permet de nettoyer le liquide céphalo-rachidien circulant entre les cellules nerveuses, en supprimant les toxines – résidus de l’activité cérébrale diurne. Chez la souris, le processus, baptisé « glymphatique », permettrait ainsi d’élargir de 60 % l’espace entre les cellules.
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Xie L et al. (2013) Science 342, 373-7
Flux dans le cerveau d’une souris assoupie
© avec l’aimable autorisation du Nedergaard Lab/University of Rochester Medical Center