Pour lutter contre le paludisme, combattre le vecteur de Plasmodium falciparum, le parasite responsable de la maladie, reste la meilleure option. Mais la chose se complique avec la propension des représentants du genre Anopheles à s’adapter aux insecticides et il devient de plus en plus difficile d’éradiquer ces moustiques. En cause, le gène GSTe2 qui, selon l’équipe menée par Charles Wondji, de l’École de médecine tropicale de Liverpool, est particulièrement actif chez les insectes résistants.
Riveron JM et al. (2014) Génome Biol 15(2), R27
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