Découverte en 1918, la génistéine fait partie des isoflavones, molécules connues pour leurs propriétés pseudo-œstrogéniques. Présent dans de nombreuses espèces végétales, telles que le soja, le lupin et le genêt à balais, cet antioxydant interagit avec les récepteurs œstrogéniques afin de mimer les effets ou une partie des effets engendrés par les œstrogènes. Des chercheurs de l’Université George Mason, en Virginie, ont découvert que l’isoflavone inhibe également les communications du VIH avec les lymphocytes T CD4, empêchant ainsi leur infection.
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Guo J et al. (2013) Retrovirology, doi:10.1186/1742-4690-10-62
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