C’est la première fois qu’une équipe de chercheurs à travers le monde va pouvoir tester sur l’homme l’impact de la thérapie cellulaire utilisant des cellules souches pluripotentes induites (iPS). Cette première phase, qui devrait être menée d’ici un an sur six patients atteints de DMLA dans sa forme la plus sévère, a pour but de s’assurer de l’innocuité d’une telle stratégie thérapeutique.
Une information émise quelques jours après la décision des agences de régulation sanitaire américaine et japonaise d’unifier leurs réglementations concernant l’utilisation des iPS.
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