En novembre 2011, l’affaire avait fait grand bruit. Des chercheurs américains et néerlandais avaient créé une souche du virus grippal H5N1 transmissible de mammifère à mammifère (des furets), donc a priori d’homme à homme. Les institutions américaines et canadiennes ayant craint une réappropriation de ces travaux par des bioterroristes, les recherches avaient été suspendues et les publications épurées. Après plus d’un an d’interruption et la mise en place d’un moratoire volontaire, les chercheurs annoncent la reprise rapide de leurs travaux.
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Fouchier RAM et al. (2013) Nature doi:10.1038/nature11858
ou
Fouchier RAM et al. (2013) Science doi:10.1126/science.1235140