Des chercheurs de l’Inserm et du CNRS auraient mis en évidence un mécanisme moléculaire commun, lié au récepteur 5-HT4 de la sérotonine, entre l’anorexie mentale et l’hyperactivité physique. C’est ce que révèle une étude publiée dans la revue Translational Psychiatry. Cette découverte pourrait ouvrir la voie à de nouvelles pistes thérapeutiques pour soigner ces troubles du comportement.
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