Biofutur, le mensuel européen des biotechnologies http://www.biofutur.com/ Le site du mensuel européen de biotechnologie. Toute l'actualité du secteur des sciences de la vie en temps réel. fr SPIP - www.spip.net Biofutur, le mensuel européen des biotechnologies http://www.biofutur.com/local/cache-vignettes/L144xH70/siteon0-6e11f.jpg http://www.biofutur.com/ 70 144 Erytech : la conquête de l'ouest http://www.biofutur.com/Erytech-la-conquete-de-l-ouest http://www.biofutur.com/Erytech-la-conquete-de-l-ouest 2016-12-08T11:03:59Z text/html fr Safi Douhi La biopharma française a réalisé un placement privé de 10 millions d'euros auprès d'investisseurs américains et européens. Eryteh Pharma développe des traitements innovants contre la leucémie aiguë et d'autres indications en oncologie avec des besoins médicaux insatisfaits, en « affamant les tumeurs ». La société lyonnaise a annoncé le 8 décembre 2016 avoir achevé avec succès un placement privé de 793 877 actions ordinaires auprès d'investisseurs qualifiés aux États-Unis et en Europe, pour un montant total brut (...) - <a href="http://www.biofutur.com/-biotech-direct-" rel="directory">BIOTECH DIRECT</a> <img class='spip_logos' alt="" align="right" src='http://www.biofutur.com/local/cache-vignettes/L150xH38/arton864-8315e.png' width='150' height='38' style='height:38px;width:150px;' /> <div class='rss_chapo'><p>La biopharma française a réalisé un placement privé de 10 millions d'euros auprès d'investisseurs américains et européens.</p></div> <div class='rss_texte'><p>Eryteh Pharma développe des traitements innovants contre la leucémie aiguë et d'autres indications en oncologie avec des besoins médicaux insatisfaits, en « affamant les tumeurs ». La société lyonnaise a annoncé le 8 décembre 2016 avoir achevé avec succès un placement privé de 793 877 actions ordinaires auprès d'investisseurs qualifiés aux États-Unis et en Europe, pour un montant total brut d'environ 10 millions d'euros.<br />Erytech compte utiliser les fonds levés pour accélérer les initiatives stratégiques clés liées au développement de son produit candidat phare, eryaspase (Graspa), ainsi que pour son besoin en fonds de roulement et pour le fonctionnement général de son activité. La société mène actuellement des programmes de développement destinés à évaluer Graspa dans le traitement des leucémies aiguës lymphoblastique (LAL) et myéloïde (LAM), et du cancer du pancréas. Des programmes de développement sont également en cours pour des indications supplémentaires et pour d'autres produits candidats.<br />« <i>Les fonds levés grâce à ce placement privé vont renforcer de manière significative notre position financière et élargir la marge de manœuvre d'Erytech au fur et à mesure que nous avançons dans le développement de Graspa et de la plateforme ERYCAPS</i>, déclare Gil Beyen, PDG d'Erytech. <i>Nous sommes très reconnaissants de l'engagement fort et constant de nos actionnaires qui ont participé à ce financement. Nous accueillons également avec plaisir les nouveaux investisseurs institutionnels qui ont souscrit à cette levée de fonds et qui viennent encore renforcer notre base actionnariale, notamment aux États-Unis. Nous nous attendons à franchir plusieurs étapes importantes au cours de l'année prochaine, notamment avec l'obtention des données primaires de notre étude de phase II avec Graspa pour le traitement du cancer du pancréas, ainsi qu'un nouveau dépôt de notre demande d'autorisation de mise sur le marché de Graspa en Europe pour le traitement de la LAL et les données primaires de l'étude de phase IIb pour Graspa dans la LAM. Ces fonds supplémentaires nous permettent d'aborder ces étapes importantes avec une position financière plus solide.</i> »</p></div> L'École polytechnique et l'Université hébraïque de Jérusalem signent deux accords de coopération http://www.biofutur.com/L-Ecole-polytechnique-et-l http://www.biofutur.com/L-Ecole-polytechnique-et-l 2016-11-15T09:14:45Z text/html fr Safi Douhi Les deux prestigieux centres d'enseignement supérieur ont signé deux accords pour notamment favoriser les coopérations académiques et renforcer les opportunités scientifiques. Le 9 novembre dernier, Jacques Biot, président de l'École polytechnique, et Asher Cohen, recteur de l'Université hébraïque de Jérusalem (UHJ), ont signé deux accords de collaboration visant à favoriser les coopérations académiques, à renforcer les opportunités d'échanges scientifiques et académiques et à promouvoir la compréhension (...) - <a href="http://www.biofutur.com/-biotech-direct-" rel="directory">BIOTECH DIRECT</a> <img class='spip_logos' alt="" align="right" src='http://www.biofutur.com/local/cache-vignettes/L110xH150/arton855-76732.jpg' width='110' height='150' style='height:150px;width:110px;' /> <div class='rss_chapo'><p>Les deux prestigieux centres d'enseignement supérieur ont signé deux accords pour notamment favoriser les coopérations académiques et renforcer les opportunités scientifiques.</p></div> <div class='rss_texte'><p>Le 9 novembre dernier, Jacques Biot, président de l'École polytechnique, et Asher Cohen, recteur de l'Université hébraïque de Jérusalem (UHJ), ont signé deux accords de collaboration visant à favoriser les coopérations académiques, à renforcer les opportunités d'échanges scientifiques et académiques et à promouvoir la compréhension inter-culturelle et internationale.<br />Toutes deux institutions leaders de leur pays en entretenant depuis de nombreuses années des relations étroites dans le domaine de la recherche, l'École polytechnique et l'UHJ s'engagent à travers ces deux accords à développer leur coopération académique et scientifique dans les domaines de l'enseignement et de la recherche.</p> <p><strong>Développer les échanges d'étudiants</strong><br />L'X et l'UHJ s'accordent toutes deux à développer des programmes d'échange étudiant entre la faculté de science de l'UHJ et le cycle ingénieur polytechnicien. Ces échanges prendront deux formes distincte : un échange académique, d'un semestre à une année, et un stage de recherche en laboratoire.</p> <p><strong>Soutenir et approfondir la coopération universitaire</strong><br />Polytechnique et l'UHJ ont également signé un accord-cadre de coopération académique afin de promouvoir des échanges réguliers de professeurs et d'étudiants inscrits dans tous les cursus proposés à l'X, des coopérations pédagogiques et scientifiques permettant de renforcer les connaissances mutuelles.</p></div> Concours Genopole : un délai pour candidater http://www.biofutur.com/Concours-Genopole-un-delai-pour http://www.biofutur.com/Concours-Genopole-un-delai-pour 2016-09-30T09:27:19Z text/html fr Safi Douhi Genopole a décidé de reporter la date limite des candidatures au Genopole Young Biotech Award au 17 octobre. Destiné à récompenser l'innovation biotechnologique (hors santé), le Genopole Young Biotech Award offre un passeport pour l'avenir au gagnant qui s'installera au sein du plus grand biocluster français et bénéficiera d'un premier prix d'une valeur de 100 000 euros (dont 30 000 € en cash). Genopole s'adresse aux chercheurs, aux entrepreneurs, aux étudiants… porteurs d'une (...) - <a href="http://www.biofutur.com/-biotech-direct-" rel="directory">BIOTECH DIRECT</a> <img class='spip_logos' alt="" align="right" src='http://www.biofutur.com/local/cache-vignettes/L150xH150/arton861-e7ce2.png' width='150' height='150' style='height:150px;width:150px;' /> <div class='rss_chapo'><p>Genopole a décidé de reporter la date limite des candidatures au Genopole Young Biotech Award au 17 octobre.</p></div> <div class='rss_texte'><p>Destiné à récompenser l'innovation biotechnologique (hors santé), le<br />Genopole Young Biotech Award offre un passeport pour l'avenir au gagnant qui s'installera au sein du plus grand biocluster français et bénéficiera d'un premier prix d'une valeur de 100 000 euros (dont 30 000 € en cash).<br />Genopole s'adresse aux chercheurs, aux entrepreneurs, aux étudiants…<br />porteurs d'une innovation biotechnologique dans les secteurs de l'environnement, de l'agronomie ou de l'industrie, au stade projet ou de jeune entreprise de moins de 3 ans.<br />La meilleure innovation, solide sur le plan scientifique et dotée d'un fort potentiel de développement industriel, sera accueillie au sein du bioparc<br />et développée avec l'aide des équipes de Genopole (business plan, recherche de fonds, communication…). Glowee a bénéficié de cette expertise en remportant le premier prix 2015 grâce à sa technologie étonnante : une lumière sans électricité issue des propriétés bioluminescentes des animaux marins. Sa présidente, Sandra Rey, témoigne des avantages tirés de son installation à Genopole : « <i>Nous bénéficions de tout l'écosystème biotech qui nous manquait dans la sphère numérique parisienne. La validation de Genopole nous a également permis de lever des fonds suffisants pour la poursuite de notre programme de R&D. Nous serons bientôt à l'étroit mais c'est tout l'avantage d'être à Genopole car nous savons que nous allons pouvoir grandir dans des locaux à nos mesures.</i> »<br />La date pour le dépôt des candidatures a été repoussée au 17 octobre.! Un tutoriel animé (concoursentreprisebiotech.genopole.fr) explique les étapes du concours, à commencer par une journée "Parcours de l'entrepreneur" en novembre, programme de rendez-vous individuels avec des professionnels de la création d'entreprise et de l'innovation (Bpifrance, Chimex, Brunswick, fonds d'amorçage, plates-formes de <i>crowdfunding</i>...) réservé à une première sélection de candidats. La finale se tiendra mardi 13 décembre à la BPCE (50 rue Pierre-Mendès-France, Paris 13<sup class="typo_exposants">e</sup>) avec l'annonce des lauréats 2016.</p></div> Galapagos et Gilead signent un partenariat mondial http://www.biofutur.com/Galapagos-et-Gilead-signent-un-partenariat-mondial http://www.biofutur.com/Galapagos-et-Gilead-signent-un-partenariat-mondial 2015-12-22T04:00:00Z text/html fr Agnès Vernet La biotech belge travaillera avec la pharma américaine pour finaliser le développement clinique de son candidat-médicament filgotinib contre les maladies inflammatoires. La biotech belge Galapagos et la big pharma américaine Gilead Sciences ont signé un accord de partenariat mondial pour le développement et la commercialisation de filgotinib, candidat-médicament contre les maladies inflammatoires. Cette molécule est un inhibiteur sélectif de la Janus kinase 1 (JAK1), une tyrosine kinase essentielle (...) - <a href="http://www.biofutur.com/-biotech-direct-" rel="directory">BIOTECH DIRECT</a> <div class='rss_chapo'><p>La biotech belge travaillera avec la pharma américaine pour finaliser le développement clinique de son candidat-médicament filgotinib contre les maladies inflammatoires.</p></div> <div class='rss_texte'><p>La biotech belge Galapagos et la <i>big pharma</i> américaine Gilead Sciences ont signé un accord de partenariat mondial pour le développement et la commercialisation de filgotinib, candidat-médicament contre les maladies inflammatoires. Cette molécule est un inhibiteur sélectif de la Janus kinase 1 (JAK1), une tyrosine kinase essentielle pour la signalisation de plusieurs cytokines. Découverte par Galapagos, cette thérapie orale vient d'achever avec succès la phase II de son évaluation clinique dans le cadre du traitement de la polyarthrite rhumatoïde et de la maladie de Crohn. Les deux sociétés s'engagent à développer conjointement le filgotinib, en commençant par le lancement, en 2016, des essais de phase III sur la polyarthrite rhumatoïde, suivis par un programme dans la maladie de Crohn, si les autorités réglementaires l'autorisent.<br />D'après les termes de cet accord, Galapagos cofinancera 20 % des activités de développement mondial et Gilead sera responsable de la fabrication, de la commercialisation et de la vente dans le monde entier. La biotech belge peut choisir de copromouvoir le filgotinib au Royaume-Uni, en Allemagne, en France, en Italie, en Espagne, en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg. Dans ce cas, les sociétés se sont accordées sur un partage équitable des bénéfices. Si Galapagos décide de prendre cette option en Belgique, aux Pays-Bas ou au Luxembourg, elle percevra également les ventes dans ces pays.<br />Ce partenariat prévoit un paiement initial de 725 millions de dollars (M$) – soit plus de 252 millions d'euros (M€) –, incluant 300 M$ (275 M€) pour les licences et un placement en actions de 425 M$ (390 M€) pour la biotech belge. Galapagos est également susceptible de recevoir des paiements échelonnés à hauteur de 1,35 milliard de dollars (1,24 milliard d'euros), avec des redevances graduelles commençant à 20 % et des bénéfices partagés dans les territoires de copromotion.</p> <p>Source : <a href="http://www.gilead.com/news/press-releases/2015/12/galapagos-and-gilead-announce-global-partnership-to-develop-filgotinib-for-the-treatment-of-rheumatoid-arthritis-and-other-inflammatory-diseases" class='spip_out' rel='external'>Gilead/Galapagos</a></p></div> Nature Open Library, l'innovation ouverte selon Pierre Fabre http://www.biofutur.com/Nature-Open-Library-l-innovation-ouverte-selon-Pierre-Fabre http://www.biofutur.com/Nature-Open-Library-l-innovation-ouverte-selon-Pierre-Fabre 2015-12-09T04:00:00Z text/html fr Avec Nature Open Library, les Laboratoires Pierre Fabre ouvrent à des partenariats innovants leur patrimoine végétal et leur expertise de la chaîne de valeur phyto­-industrielle. Castres (France), décembre 2015. Les Laboratoires Pierre Fabre annoncent le lancement de Nature Open Library, un programme d'Open Innovation sans équivalent dans le monde, destiné à partager leur expertise en recherche, développement et industrialisation des actifs végétaux avec des acteurs privés et publics porteurs de (...) - <a href="http://www.biofutur.com/-biotech-direct-" rel="directory">BIOTECH DIRECT</a> <img class='spip_logos' alt="" align="right" src='http://www.biofutur.com/local/cache-vignettes/L150xH136/arton825-a53d7.png' width='150' height='136' style='height:136px;width:150px;' /> <div class='rss_chapo'><p>Avec <i>Nature Open Library</i>, les Laboratoires Pierre Fabre ouvrent à des partenariats innovants leur patrimoine végétal et leur expertise de la chaîne de valeur phyto­-industrielle.</p></div> <div class='rss_texte'><p>Castres (France), décembre 2015. Les Laboratoires Pierre Fabre annoncent le lancement de <i>Nature Open Library</i>, un programme d'<i>Open Innovation</i> sans équivalent dans le monde, destiné à partager leur expertise en recherche, développement et industrialisation des actifs végétaux avec des acteurs privés et publics porteurs de projets innovants. Dans le cadre de ce programme, les Laboratoires Pierre Fabre proposent un accès à leur échantillothèque de plantes et à leurs extraits – l'une des plus importantes collection privée au monde – avec plus de 15 000 échantillons répertoriés, dont certaines espèces rares.<br />Depuis plus d'un demi-siècle, une exceptionnelle capacité d'innovation fondée sur le monde végétal a permis aux Laboratoires Pierre Fabre de devenir le second laboratoire dermo-cosmétique mondial et le troisième laboratoire pharmaceutique français. Les Laboratoires Pierre Fabre réalisent aujourd'hui 40 % de leur chiffre d'affaires avec des produits d'origine végétale, à l'exemple de plusieurs traitements de chimiothérapie en oncologie dont les principes actifs proviennent de la Pervenche tropicale, de marques <i>leaders</i> en dermo-cosmétique (Klorane, René Furterer, Galénic…) et d'un vaste portefeuille de produits de phytothérapie et d'aromathérapie commercialisés sous la marque Naturactive.<br />Avec <i>Nature Open Library</i>, les Laboratoires Pierre Fabre entendent mettre au service du processus d'innovation de leurs futurs partenaires l'expertise d'une équipe interdisciplinaire maîtrisant l'intégralité de la chaîne de valeur phyto-industrielle (botanistes, agronomes, chimistes, ingénieurs de production, spécialistes en affaires réglementaires, juristes…). Cette expertise scientifique et technologique est associée à un outil industriel de pointe spécialisé dans le développement et la production de principes actifs pharmaceutiques, cosmétiques et nutraceutiques à base de plantes (extraction végétale pilote et industrielle, purification et caractérisation, hémi-synthèse, culture cellulaire végétale).<br />Le programme <i>Nature Open Library</i> s'adresse aussi bien à des porteurs de projets provenant de l'industrie pharmaceutique – médicaments éthiques, produits de santé grand public, biotechnologies, santé animale – qu'à d'autres secteurs, notamment ceux de la nutrition et l'agroalimentaire.<br />Outre cette collection unique de plantes et d'extraits végétaux, les Laboratoires Pierre Fabre souhaitent, à travers <i>Nature Open Library</i>, partager leur approche responsable du développement des actifs végétaux aux plans environnementaux et sociaux. Depuis 2010, ils ont traduit cette approche dans une démarche appelée <i>Botanical Expertise Pierre Fabre</i>. Cette démarche pour le développement responsable d'actifs végétaux innovants sûrs et efficaces est labellisée EFQM (<i>European Foundation for Quality Management</i>). Pierre Fabre garantit notamment à ses partenaires en innovation la mise en œuvre de solutions respectueuses de l'environnement, des populations locales et des réglementations internationales d'accès à la biodiversité qui s'imposent à toute entreprise utilisatrice de ressources végétales (convention de Rio, protocole de Nagoya).<br />« <i>Nous sommes enthousiastes à l'idée de partager notre patrimoine végétal et notre expertise multidisciplinaire dans le développement et la formulation d'actifs d'origine végétale avec des acteurs porteurs de projets innovants</i>, déclare Bertrand Parmentier, directeur général du groupe Pierre Fabre. <i>Le programme</i> Nature Open Library <i>illustre parfaitement notre volonté de faire de l'</i>Open Innovation <i>une composante majeure de notre modèle d'innovation.</i> »<br />Afin de donner un maximum de visibilité à ce nouveau programme, les Laboratoires Pierre Fabre ont développé une plateforme internet dédiée. Elle est notamment destinée à recueillir les demandes initiales de partenariats. Les porteurs de projets intéressés peuvent déposer dès à présent leur dossier sur le site :<br /><a href='http://nature­open­library­pierre­fabre.force.com/' class='spip_out' rel='external'>nature­open­library­pierre­fabre.force.com</a></p> <p>Source : <a href="http://www.pierre-fabre.com/fr" class='spip_out' rel='external'>Pierre Fabre</a></p></div> Un OGM dans les assiettes http://www.biofutur.com/Un-OGM-dans-les-assiettes http://www.biofutur.com/Un-OGM-dans-les-assiettes 2015-11-21T04:00:00Z text/html fr Safi Douhi L'Agence américaine de sécurité alimentaire a autorisé la commercialisation d'un saumon génétiquement modifié pour la consommation humaine. Nous en avons souvent parlé dans les pages Actualités de Biofutur. Cette fois, c'est fait... Après plusieurs années d'attente, la firme américaine AquaBounty Technologies a obtenu l'accord de la Food & Drug Administration, l'organe américain de sécurité alimentaire, pour commercialiser son saumon génétiquement modifié Aquadvantage. En soi, la nouvelle ne l'est pas (...) - <a href="http://www.biofutur.com/-biotech-direct-" rel="directory">BIOTECH DIRECT</a> <img class='spip_logos' alt="" align="right" src='http://www.biofutur.com/local/cache-vignettes/L150xH94/arton819-76c57.jpg' width='150' height='94' style='height:94px;width:150px;' /> <div class='rss_chapo'><p>L'Agence américaine de sécurité alimentaire a autorisé la commercialisation d'un saumon génétiquement modifié pour la consommation humaine.</p></div> <div class='rss_texte'><p>Nous en avons souvent parlé dans les pages Actualités de <i>Biofutur</i>. Cette fois, c'est fait... Après plusieurs années d'attente, la firme américaine AquaBounty Technologies a obtenu l'accord de la Food & Drug Administration, l'organe américain de sécurité alimentaire, pour commercialiser son saumon génétiquement modifié Aquadvantage. En soi, la nouvelle ne l'est pas tant que cela puisque d'autres animaux GM avaient déjà obtenu une autorisation de commercialisation, notamment des poissons d'agrément et un moustique destiné à lutter contre la dengue au Brésil. Mais c'est la première fois qu'un animal GM reçoit le feu vert pour être mis sur le marché de l'alimentation humaine. <br />Le 19 novembre, sur son site, l'agence a ainsi annoncé que « <i>[s]ur la base d'éléments scientifiques, la FDA prend d'importantes mesures ce jour concernant la nourriture issue de plantes et d'animaux GM, incluant la première autorisation pour un animal GM destiné à l'alimentation humaine, le saumon AquAdvantage</i> ». Quelques lignes plus loin, le message se fait plus clair : « <i>La FDA approuve la demande concernant le saumon AquAdvantage</i> ». Dans son texte, l'Agence explique qu'elle accepte la commercialisation de ce saumon dans lequel a été introduit un ARN recombinant codant une hormone de croissance, dans le but de quadrupler la vitesse de croissance du poisson.<br />Mais quels sont les risques réels pour ces animaux ? Et pour les consommateurs ? Doit-on aussi y voir les prémices du dopage génétique dans le sport ?</p> <p>Source : <a href="http://www.fda.gov/NewsEvents/Newsroom/PressAnnouncements/ucm473249.htm" class='spip_out' rel='external'>FDA</a></p> <p>© <a href='http://www.japansushi.no/' class='spip_out' rel='external'>Japan Sushi</a> — Travail personnel. Sous licence <a href="https://commons.wikimedia.org/wiki/File:SushiMaki.jpg#/media/File:SushiMaki.jpg" class='spip_out' rel='external'>CC BY 3.0 via Wikimedia Commons</a></p></div> Theranexus contre les troubles de l'éveil http://www.biofutur.com/Theranexus-contre-les-troubles-de-l-eveil http://www.biofutur.com/Theranexus-contre-les-troubles-de-l-eveil 2015-10-16T09:15:26Z text/html fr Theranexus inclut les premiers sujets de la phase clinique d'efficacité du traitement des troubles de l'éveil, en partenariat avec l'Institut de recherche biomédicale des armées (Irba). La société de biotechnologie Theranexus – créée par Franck Mouthon, son président, et Mathieu Charvériat, son directeur scientifique – annonce le lancement de la phase clinique d'efficacité du programme THN102, dans le traitement des troubles de l'éveil. Fort des résultats positifs de la phase I, qui portait sur la sécurité (...) - <a href="http://www.biofutur.com/-biotech-direct-" rel="directory">BIOTECH DIRECT</a> <img class='spip_logos' alt="" align="right" src='http://www.biofutur.com/local/cache-vignettes/L150xH36/arton809-87591.jpg' width='150' height='36' style='height:36px;width:150px;' /> <div class='rss_chapo'><p>Theranexus inclut les premiers sujets de la phase clinique d'efficacité du traitement des troubles de l'éveil, en partenariat avec l'Institut de recherche biomédicale des armées (Irba).</p></div> <div class='rss_texte'><p>La société de biotechnologie Theranexus – créée par Franck Mouthon, son président, et Mathieu Charvériat, son directeur scientifique – annonce le lancement de la phase clinique d'efficacité du programme THN102, dans le traitement des troubles de l'éveil. Fort des résultats positifs de la phase I, qui portait sur la sécurité du produit THN102, Theranexus s'est, en effet, vu accorder l'autorisation de rentrer dans la phase d'évaluation de l'efficacité clinique du produit.<br />Coordonnée par l'unité Fatigue et vigilance de l'Institut de recherche biomédicale des armées (Irba), dirigée par Mounir Chennaoui, et avec le soutien de la Pharmacie centrale des armées pour la fabrication et la libération des médicaments expérimentaux, cette étude de phase Ib est réalisée à l'Hôpital d'instruction des armées Percy. Le médecin en chef Fabien Sauvet, spécialiste du sommeil à l'Irba, conduit cette étude en double aveugle avec un groupe placebo. Le placebo et le produit sont administrés en trois doses à des volontaires privés de sommeil. Cette étude permettra d'évaluer les capacités de THN102, notamment sur les capacités de maintien en éveil et les performances cognitives (attention, mémoire). Elle est soutenue financièrement par la Direction générale de l'armement (DGA) dans le cadre d'un projet RAPID (Régime d'appui PME pour l'innovation duale). <br /> « <i>Nous sommes très heureux d'avoir inclus les premiers sujets dans cette étude importante, </i>déclare Mathieu Charvériat. <i>Cette étude fortement qualifiée devrait permettre de démontrer de façon convaincante le bénéfice thérapeutique que THN102 apportera aux personnes soumises à des troubles de l'éveil. </i> » Et d'ajouter : « <i>Malgré l'administration des meilleurs traitements éveillants actuels, les patients atteints de troubles de l'éveil tels que la narcolepsie ou les apnées obstructives du sommeil souffrent de somnolence résiduelle. THN102 est donc destiné à apporter une solution aux besoins de ces patients.</i> » Franck Mouthon précise : « <i>Nous nous réjouissons que le développement clinique de ce produit progresse conformément au calendrier établi, avec des résultats attendus au 1<sup class="typo_exposants">er</sup> semestre 2016. À ce sujet, le soutien de la DGA et le savoir-faire de l'Irba, reconnue pour sa capacité à réaliser des études cliniques dans les domaines de la fatigue et de la vigilance, ont été décisifs pour atteindre ce nouveau jalon. </i> »<br />Cette étude sera suivie d'une étude de phase II chez le patient narcoleptique.</p> <p><a href='http://www.theranexus.com/' class='spip_out' rel='external'>www.theranexus.com</a></p></div> L'Auvergne investit sur les biotechs http://www.biofutur.com/L-Auvergne-investit-sur-les-biotechs http://www.biofutur.com/L-Auvergne-investit-sur-les-biotechs 2015-09-11T12:39:39Z text/html fr Agnès Vernet Le concours New Deal Biotech propose aux futurs bioentrepreneurs de les accompagner dans leur projet et de les aider à s'installer dans une région déjà riche d'entreprises de biotechnologies. Loin de l'image de retard souvent associée au centre de la France, l'Auvergne est une région dynamique qui investit dans les technologies et nouveaux métiers. Pour poursuivre ce mouvement, l'Agence régionale de développement des territoires d'Auvergne et le biopôle Clermont-Limagne, en partenariat avec le Conseil (...) - <a href="http://www.biofutur.com/-biotech-direct-" rel="directory">BIOTECH DIRECT</a> <img class='spip_logos' alt="" align="right" src='http://www.biofutur.com/local/cache-vignettes/L150xH95/arton800-77b2a.jpg' width='150' height='95' style='height:95px;width:150px;' /> <div class='rss_chapo'><p>Le concours New Deal Biotech propose aux futurs bioentrepreneurs de les accompagner dans leur projet et de les aider à s'installer dans une région déjà riche d'entreprises de biotechnologies.</p></div> <div class='rss_texte'><p>Loin de l'image de retard souvent associée au centre de la France, l'Auvergne est une région dynamique qui investit dans les technologies et nouveaux métiers. Pour poursuivre ce mouvement, l'Agence régionale de développement des territoires d'Auvergne et le biopôle Clermont-Limagne, en partenariat avec le Conseil régional et l'incubateur Busi, lance le New Deal Biotech, un concours visant à accompagner jusqu'à 10 projets dans le développement d'une start-up sur le territoire. Les lauréats se verront offrir un salaire, un hébergement en laboratoire, la prise en charge du logement ainsi qu'un accompagnement sur-mesure à la création d'entreprise.<br />Tous les projets en sciences de la vie sont éligibles. La santé, la cosmétique, la nutrition, l'agro-alimentaire ou l'environnement sont déjà des secteurs implantés dans la région et les jeunes bio-entrepreneurs pourront s'appuyer sur l'expérience acquise auprès de projets plus matures, comme Carbios – spécialiste de la bio-ingénierie dans le recyclage des plastiques –, Neuronax – qui développe des traitements pour réparer la moelle épinière suite à un traumatisme – ou Greentech – bioproducteur de molécules actives pour l'industrie cosmétique –, afin de développer leur start-up. Les porteurs de projets ont jusqu'au 22 septembre 2015 pour candidater.</p> <p><a href="http://www.newdealbiotech.com/" class='spip_out' rel='external'>www.newdealbiotech.com</a></p></div> L'innovation vue par les cadres français http://www.biofutur.com/L-innovation-vue-par-les-cadres-francais http://www.biofutur.com/L-innovation-vue-par-les-cadres-francais 2014-10-01T14:44:24Z text/html fr Agnès Vernet, Safi Douhi Du 15 au 21 juillet 2014, l'Institut de sondage Viavoice a réalisé une enquête auprès de 802 cadres français, travaillant dans le secteur public ou privé, pour le compte de Genopole et de l'entreprise de biotechnologie américaine Amgen. Ces résultats seront présentés, demain, le 2 octobre 2014, lors du colloque Vivre l'innovation ! L'innovation reste au cœur des atouts d'un pays. Pour une majorité de cadres français, elle se ressent à l'échelle nationale à travers le développement économique (...) - <a href="http://www.biofutur.com/-biotech-direct-" rel="directory">BIOTECH DIRECT</a> <img class='spip_logos' alt="" align="right" src='http://www.biofutur.com/local/cache-vignettes/L142xH150/arton797-b011c.jpg' width='142' height='150' style='height:150px;width:142px;' /> <div class='rss_chapo'><p>Du 15 au 21 juillet 2014, l'Institut de sondage Viavoice a réalisé une enquête auprès de 802 cadres français, travaillant dans le secteur public ou privé, pour le compte de Genopole et de l'entreprise de biotechnologie américaine Amgen. Ces résultats seront présentés, demain, le 2 octobre 2014, lors du colloque Vivre l'innovation !</p></div> <div class='rss_texte'><p>L'innovation reste au cœur des atouts d'un pays. Pour une majorité de cadres français, elle se ressent à l'échelle nationale à travers le développement économique (46 %). Ils ne sont, à l'inverse, qu'un tiers de l'échantillon (34 %) à décrire un phénomène cantonné au développement de certaines entreprises. Si les atouts de l'innovation rayonnent de manière large, ils ne sont pas perçus comme bouleversant le mode de vie des citoyens : 44 % des personnes interrogées estiment que les produits et les services qui en résultent permettent surtout de faciliter la vie, quand 36 % parlent d'améliorations véritables.</p> <p><strong>LES ÉTATS-UNIS, UN PAYS SYMBOLE</strong><br />Spontanément, 41 % des cadres français citent les États-Unis en tant que pays le plus innovant. Ils expliquent ce choix par la culture de l'entrepreneuriat et un cadre législatif simplifié. « <i>L'Environnement économique favorable, des cadres légaux et fiscaux simplifiés</i> » justifient cette impression. D'autant que les États-Unis « <i>attirent les cerveaux</i> » et manifestent un « <i>esprit pionnier et d'entreprise </i> » d'après les répondants. Dans un second temps, la Chine (15 %), le Japon (13 %) et la Corée du Sud (7 %) sont cités pour leur volonté de développement et leur avance nette perçue dans le domaine technologique.<br />En Europe, l'Allemagne est choisie de par 7 % des cadres français. Son contexte économique favorable et sa politique de R&D associée à une large capacité de production semblent à l'origine de la force d'innovation de nos voisins. Cette préférence est renforcée par la possession de « <i>beaucoup de brevets et de productions exclusives, liée sur le territoire national et avec des ouvriers qualifiés </i> ». La France se classe neuvième, avec 2 % de répondants choisissant leur pays comme champion de l'innovation. L'atout français ? Son enseignement lie et une recherche publique forte.</p> <p><strong>POUR FAIRE PROGRESSER LA FRANCE</strong><br />Interrogés sur les éléments qui pourraient favoriser davantage l'innovation en France, les participants à l'enquête penchent majoritairement pour un rapprochement entre les acteurs de
l'innovation, de la recherche et de l'entreprise (65 %) et une plus grande culture de l'innovation (50 %). Autres pistes évoquées : améliorer la reconnaissance des Le enjeux liés à l'innovation (46 %) et initier une nouvelle politique de l'innovation (36 %). <br />S'il fallait définir une priorité, en 51 % d'entre eux plaident pour le renforcement de l'innovation au sein des secteurs d'activité les plus stratégiques pour l'économie française, 21 % pour son développement là où la culture d'innovation est plus faible, et 20 % pour sa consolidation dans les secteurs d'activité les plus concurrentiels. <br />Un faible pourcentage de cadres français (3 %) soulignent d'autres priorités, comme un soutien généralisé de l'innovation quel que soit le domaine, une action ciblée en faveur de la recherche publique, le développement d'encouragements culturels et politiques, le renforcement d'une innovation directement liée au service des citoyens et le financement spécifique en direction des technologies porteuses.<br />Sur l'ensemble de ces points apparaît une nette distinction entre profils : les jeunes cadres, franciliens ou travaillant dans une grande entreprise se tournent vers un renforcement de l'innovation et des priorités mises sur les domaines stratégiques, tandis que les cadres entamant leur deuxième partie de carrière (à partir de 40 ans) ou appartenant à de plus petites structures semblent souhaiter un développement plus uniforme de la notion d'innovation.</p> <p><strong>UNE INNOVATION SENSIBLE DANS LE CONTEXTE PROFESSIONNEL</strong><br />es répondants sont 67 % à considérer que leur secteur d'activité a connu des innovations majeures ces dix dernières années, en grande partie liées au développement des technologies numériques, vectrices d'innovations matérielles (le développement de réseaux par exemple), de communication (l'évolution des pratiques d'information) et de services (comme la dématérialisation des services bancaires). Mais selon le profil des personnes interrogées, les perceptions sont plus divergentes qu'il n'y paraît. Les cadres travaillant dans les télécoms (97 %), les moins de 30 ans (76 %) et plus généralement les cadres du secteur privé (74 %) sont plus prompts que la moyenne à parler d'innovation. Les cadres du secteur public et les 30-39 ans apparaissent plus en retrait et ont davantage tendance à noter une absence d'innovation au cours de la dernière décennie.<br />L'innovation est aussi porteuse d'espoir. Dans les années à venir les cadres imaginent ainsi, que le domaine de la santé sera en mesure d'amplifier la recherche des vaccins et les traitements contre les grandes maladies – telles que le sida, les cancers, les maladies auto-immunes ou les pathologies dégénératives – (29 %) ; d'accentuer l'efficacité des greffes et de la régénération tissulaire, via le développement des nanotechnologies, des biotechnologies et de la recherche sur les cellules souches (19 %) ; de développer les soins à distance – télémédecine, maintien à domicile des personnes âgées – (9 %) ; d'innover techniquement et technologiquement en chirurgie à travers de nouvelles méthodes ambulatoires, mini invasives, de précision, à distance, et liées à la robotique (5 %) ; d'améliorer la prévention, la détection et le diagnostic des maladies (5 %). Les autres progrès liés à la santé concerneront, d'après 2 % des sondés, le développement de la robotique médicale ; l'avancement des performances des appareils médicaux, notamment via des technologies plus performantes et moins coûteuses ; et les prothèses ou les exosquelettes. La question des coûts des soins n'est pas négligeable, l'innovation permettra ainsi de rendre la médecine plus abordable financièrement et accessible au plus grand nombre pour 2 % des cadres français.</p> <p><strong>UN TERME, PLUSIEURS SIGNIFICATIONS</strong><br />Enfin, les résultats de cette enquête mettent en évidence la multitude de définitions ou de sens associés au mot « innovation ». Si l'image globale de l'innovation reste celle du développement, du renforcement de la compétitivité d'un pays ou d'un secteur, elle peut également être comprise comme un élément du progrès social. À titre d'exemple, pour six cadres français sur dix, il existe une culture de l'innovation au sein même de leur secteur d'activité. Dans le secteur de l'industrie, les propos recueillis montrent que celle-ci prend notamment la forme d'innovations sur les conditions de travail, la réglementation et les procédés de production.<br />Autre constat marquant, parmi les pays cités comme étant les plus innovants, certains répondants ont cité de manière spontanée les pays scandinaves (2 %) pour des innovations perçues sous l'angle durable, ainsi que le Bhoutan (moins de 1 %) pour la création de l'indicateur de Bonheur Intérieur Brut.</p> <p>Source : Enquête « Perceptions des cadres français sur l'innovation », juillet 2014, réalisée par l'Institut Viavoice pour Genopole et Amgen dans le cadre du colloque Vivre l'Innovation !</p></div> L'Université Joseph Fourier se dote d'une fondation http://www.biofutur.com/L-Universite-Joseph-Fournier-se-dote-d-une-fondation http://www.biofutur.com/L-Universite-Joseph-Fournier-se-dote-d-une-fondation 2014-09-05T03:00:00Z text/html fr Agnès Vernet Pour étendre son rayonnement et celui de ces recherches, l'université grenobloise crée une fondation partenariale afin d'attirer des capitaux privés dans ses projets. Lorsqu'une institution publique veut s'ouvrir davantage vers le monde privé, la création d'une fondation reste un des outils les plus efficaces. C'est le choix de l'université grenobloise Joseph Fourier (UJF). À ce projet, s'est associé ainsi le Centre hospitalier universitaire de Grenoble, la Banque populaire des Alpes, l'entreprise (...) - <a href="http://www.biofutur.com/-biotech-direct-" rel="directory">BIOTECH DIRECT</a> <img class='spip_logos' alt="" align="right" src='http://www.biofutur.com/local/cache-vignettes/L150xH62/arton796-eec93.jpg' width='150' height='62' style='height:62px;width:150px;' /> <div class='rss_chapo'><p>Pour étendre son rayonnement et celui de ces recherches, l'université grenobloise crée une fondation partenariale afin d'attirer des capitaux privés dans ses projets.</p></div> <div class='rss_texte'><p>Lorsqu'une institution publique veut s'ouvrir davantage vers le monde privé, la création d'une fondation reste un des outils les plus efficaces. C'est le choix de l'université grenobloise Joseph Fourier (UJF). À ce projet, s'est associé ainsi le Centre hospitalier universitaire de Grenoble, la Banque populaire des Alpes, l'entreprise industrielle bioMerieux et le géant français des télécoms Orange en tant que membres fondateurs. Le premier conseil d'administration et l'élection du président de la Fondation UJF se déroulent le 5 septembre 2014.<br />Ce projet vise à renforcer les coopérations de l'université avec le monde socio-économique et à soutenir sa recherche et son enseignement. Plusieurs domaines prioritaires ont été défini : l'accès aux soins et la santé publique ; la connaissance et la protection de l'environnement via les sciences de la terre ; les sciences et les technologies du numérique ; et l'organisation des territoires. Pour accélérer les progrès sur ces questions, la Fondation UJF est en mesure de contribuer directement au financement de projets de recherche et de développer de nouveaux modes d'enseignement. Sur un plan plus global, elle prévoit aussi d'octroyer des bourses pour soutenir ses étudiants en difficulté et d'accompagner les étudiants athlètes de haut niveau dans leurs études. <br />Le fonctionnement de cette fondation repose sur l'appel à des donateurs dans le cadre d'un mécénat scientifique.</p> <p>Source : <a href="https://www.ujf-grenoble.fr/actualites/2014-09-04/universite-joseph-fourier-cree-fondation-partenariale" class='spip_out' rel='external'>Université Joseph Fourier</a></p></div>